Musique / Pop - Rock / Electro / Maloya - Séga

L’homme aux multiples facettes

Aurus

Galerie Médias

- [Juin 2020] : Aurus - EP Éponyme

Dans ce premier EP éponyme, AURUS répand sa vision du monde tel un mantra évolutif…



- [Décembre 2019] : The Abettors Ft Sandra NKAKÉ

Après la polyphonie transgressive des 3Somesisters, AURUS aka Bastien Picot revient en solo et distille le maloya de ses racines dans un écrin pop orchestral et percussif, rappelant James Blake, Peter Gabriel ou Woodkid. Il y a quelques mois, AURUS nous dévoilait le titre Momentum. Le voici de retour avec une vidéo captivante pour le titre The Abettors sur lequel on retrouve Sandra Nkaké.

The Abettors (les complices) est une prise de conscience, le douloureux réveil d’un système prenant le vivant pour acquis. Ce duo avec Sandra Nkaké questionne notre rapport au monde animal, notre responsabilité en tant que témoins, acteurs mais également victimes de la 6ème extinction de masse.
Pour illustrer ce propos, AURUS fait appel à la maquilleuse illusionniste MiMi Choi. Pas d’effets spéciaux sur les visages dans ce clip, juste du maquillage et un symbole omniprésent : l’oeil. Les yeux grands ouverts sur cette catastrophe annoncée, qui nous touche mais ne semble pas suffire à nous mobiliser...



- [Sakifo 2019] - L’interviou’Z
Lekip a chopé Aurus Aka Bastien Picot entre "quatre yeux"

Bastien Picot, auteur-compositeur-interprète tamponnais vit aujourd’hui entre Paris et la Réunion. Choriste pour Stevie Wonder, Fred Wesley, Charles Aznavour ou encore Yael Naïm, il a récemment enregistré en tant que chanteur lead sur un album jazz réalisé par Richard Bona, avec André Ceccarelli, Sylvain Luc et Hadrien Feraud.

A la Réunion, il travaille entre autres avec Lo Griyo, Maya Kamaty ou encore les Bringelles dont il a pris la direction artistique. Son nouveau projet solo baptisé Aurus est un mélange d’anglais et de créole, un métissage des instruments traditionnels du maloya dans un écrin pop tribale rappelant Bon Iver ou Woodkid. Il prépare un premier album Chimera pour 2020.


Crédit photo : Clément Duquenne