
Jazz, groove, partage et éclectisme
Sundri Feeling & Whatt’s Up
Dernière minute : EMB - Eat My Butterfly sera également de la partie suite à l’annulation du concert d’ouverture du Bisik à cause des fortes pluies.
Un mélange de sonorités acoustiques et électroniques, un éventail de couleurs et de parfums provenant de diverses influences culturelles et musicales. Né du désir d’improviser des moments de dance et de transe avec une palette instrumentale éclectique (drum machines, effets, claviers, etc.), ce projet s’affranchit des frontières et des conventions sociales.
Avec ses racines réunionnaises et son activité de batteure, Dilo,
l’artiste fondatrice de EMB, amène beaucoup de rythmes
syncopés et explosifs derrière des synthétiseurs effervescents
pour raconter des histoires et créer des tableaux sonores à son
image.
Elle pioche ainsi des instants de vie et élabore un polaroid musical
dévoilant sa personnalité.
En passant par des mélodies et chants traditionnels de plusieurs lieux comme l’île de la Réunion ou encore l’Amérique Latine, le fil conducteur de cette artiste reste le mélange et le métissage.
Sundri Feeling
Sundri est animée par la force tranquille et la beauté d’un métissage des 4 coins du monde. Une musique du monde par une artiste “Métisse, Ambassadrice, conservatrice de l’aura protectrice qui enveloppe l’esquisse d’un portrait de famille aux mille cicatrices” (Extrait de l’album Dancing Souls). Au-delà des frontières, en français, anglais ou créole, Sundri Feeling a touché le cœur d’un public aimant ce subtil mélange d’harmonies jazz, rythmes multi culturels, poésie, danse et sensualité.
Leur 2ème album "Dancing souls” sorti en 2018, est réalisé par le bassiste international Sylvin Marc (Nina Simone, Chris Rea, Michel Jonasz). Sundri écrit les textes puis co-compose avec des musiciens de talent. Sur scène, la basse reconnaissable de Mishko M’Ba (Ray Charles, Dee Dee Bridgewater, Paco Sery), les envolées du pianiste Jérôme Vaccari (direction du Jazz Club Réunion) et la batterie réunionnaise de Philippe Baraka (Ziskakan) accompagnent la voix riche en nuances de Sundri. En 2019, l’Afrique du Sud, les Canaries et le Mozambique leur ouvrent la scène. Leur sélection pour un showcase à Seoul Music Week 2017 les a mis en route pour 2 tournées en Corée du Sud en 2017, puis 2018.
Crédit Photo : Olivier Padre
Crédit photo pour le couverture de l’album : Les arts de l’image.

Artiste multi-facettes, passionné par la musique et l’art urbain, Watt’s Up est aussi à l’aise derrière ses platines que bombe à la main quand il peint sous son autre pseudonyme de street-artist « Alias2.0 ». Côtoyant autant la culture hiphop que celle de l’électro, il s’est forgé un univers musical inédit à la croisée des genres. Ses maîtres mots : groove, partage et éclectisme ! Navigant du Jazz-Funk 70’s au Hip-hop accompagné de Musique du monde sur fond d’Electro et Bass-music, Watt’s Up invite à l’escapade sonore en abattant les frontières musicales ! Inspiré par des artistes ou labels comme Chinese Man record, Ghetto Funk label, A-Skillz, Gramatik, Dj Nu-Mark, The Architect, Rôche musique, ou Wonderwheel record, il fusionne de nombreux types de musiques, surtout les plus groovy et improbables. Il offre ainsi au public des expériences et découvertes surprenantes en distillant ses compositions percutantes et mix accompagnés de cuts incisifs et malicieux. Résident et DJ invité dans des clubs, salles et festivals en France mais aussi en Asie du Sud-Est et Amérique latine, Watt’s Up s’est autant produit en festival de jazz ou musique du monde (Crest Jazz Vocal, Ze Fiestival…) que dans les clubs techno ou hiphop underground de Phnom Penh à Manille (Pontoon Club, Black Market) ou encore en Alliance française et Institut français de Bogota à Jakarta.
Il a partagé la scène avec des groupes de renommée internationale comme Balkan Beat Box, High-tone, L’Animalerie, L’Entourloop, KDS, The Architect, DJ Manwell, Leeroy Thornhill ou encore Billy Ze Kick, pour ne citer qu’eux.